dimanche 9 octobre 2016

Les tribulations d'un étudiant en généalogie (épisode 3)

Pas de tout repos la vie d'étudiant, surtout qu'il faut gérer cela avec le travail et d'autres activités...
Lever aux aurores pour partir travailler (analyses d'ADN, typages MIRU-VNTR, recherche de Mycobacterium tuberculosis ou de Brucella melitensis, etc...) et généalogie le soir et le week-end.
Il y a l'association dont je suis un des responsables, des salons de généalogie qui approchent, des publications à finaliser et à éditer, un salon de généalogie à Tournai en 2017 à préparer, etc...
Et puis il y a le diplôme universitaire en généalogie.  Des cours, deux jours par semaine, en vidéo : de l'histoire du droit, de la généalogie, de l'héraldique (j'arrive à lire des blasons maintenant !) et de la paléographie pour se détendre (vive les notes tironiennes et autres abréviations !), sans oublier l'histoire moderne et un peu d'onomastique.
 
Archives de l'Etat à Tournai : quelques volumes de transcriptions hypothécaires